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Colloque #NeverAlone - Les convictions et le ressenti lors du confinement COVID

Organisée par le FIDIF*, le colloque “Never Alone”, a réuni les responsables des convictions reconnues en Belgique autour de la thématique des convictions pendant la pandémie de COVID-19 ce 15 mars dernier au Sénat.

Au travers de témoignages touchants et sincères, des jeunes et moins jeunes pratiquants ont partagé leur ressenti face à l’isolement durant le confinement et leur rapport à leur pratiques et croyances. Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Albert II et la Reine Paola, il s’est déroulé en présence de Ses majestés le Prince Laurent et la Princesse Claire.


“Cette solidarité prouve que toutes les religions et convictions placent le bien-être des autres êtres humains au premier plan.” Vincent Van Quickenborne, ministre de la Justice.


Carlo Luyckx , président de l’Union Bouddhiste de Belgique était convié à participer aux partages, même si à ce jour, le bouddhisme en Belgique est encore en voie de reconnaissance. Il en ressort une grande solidarité au sein même des différentes convictions, ainsi qu’une opportunité d’approfondir leur pratique. Carlo a évoqué pour sa part l’impermanence et le rapport à la (sa) mort au travers de la pratique de la méditation. Toute épreuve est vecteur d’enseignement et de sagesse, et les notions comme l’altruisme et la bienveillance ont permis de traverser ces moments difficiles. Enfin, les relations entre les espèces animales et humaines, la surexploitation des ressources et l’asservissement du vivant par l’humain, nous ont également montrés un aperçu de l’interdépendance des êtres.


Le calme inhabituel du confinement a permis de pratiquer l’ouverture de l’esprit et sa résilience quant aux situations inédites et difficiles que nous avons tous et toutes vécus ensemble, sans écarter les angoisses ni la maladie.


Allocation de Carlo Luyckx


Dans son allocution de clôture, Vincent Van Quickenborne, ministre de la Justice en charge des cultes et convictions philosophiques reconnues, a dit qu’ «En collaborant, nous avons rendu possible bien des choses, en respectant les usages et convictions respectives. Ceci fut nécessaire, car les liens et la solidarité furent cruciaux pour traverser ensemble cette épreuve (la pandémie). (…) Cette solidarité prouve que toutes les religions et convictions placent le bien-être des autres êtres humains au premier plan.»

L’intégralité de ce colloque est à revoir sur Youtube. Le témoignage des jeunes adultes est également disponible dans une vidéo séparée.





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